Quand on parle de fleuriste, généralement on a tendance à penser aux vendeurs ambulants de fleurs. Mais la notion a évolué depuis bien longtemps. Spécialisé dans la vente de fleurs et la confection de bouquets, le fleuriste revêt la double casquette d’artisan et d’artiste. Il doit effectuer les rotations de stocks des végétaux qu’il propose à sa clientèle, laquelle il se doit de fidéliser, réaliser ses achats en tenant compte d’infinis détails et suivre ses commandes auprès des grossistes. Tous ces détails pouvant mener à quelque litige, il lui serait favorable de souscrire aux assurances adéquates.
Assurance tout risque
Cette assurance permet au fleuriste de se protéger des dommages qui pourraient toucher son local (vol, vandalisme, sinistres…). De plus, elle lui permet d’être indemnisé en cas des dommages précités. Pour plus de details, visitez ce site web.
Protection juridique et prévoyance professionnelle
Le fleuriste n’est pas à l’abri d’un litige contre ses salariés, ses clients ou ses fournisseurs, ce qui serait fâcheux pour son commerce. Pour ce faire, la protection juridique, non seulement lui offre une protection contre tous litiges, mais également met son entreprise à l’abri de toutes ces difficultés. Et il bénéficie gratuitement d’un avocat en cas de litiges.
Étant donné qu’un arrêt de travail ou une invalidité peut handicaper sa societé et causer par conséquent de grandes pertes, le fleuriste, grâce à la prévoyance professionnelle, bénéficie d’une indemnisation et d’une protection contre les aléas de la vie.
Comme tout autre métier, vendre des fleurs comporte des risques pour lesquels il est important de souscrire à une assurance.